«J’ai peur… même si j’adore cette adrénaline. Ça fait plus d’un an qu’on n’a pas joué devant un public, ça va être un baptême du feu.»
L’utilisation du jargon militaire pourrait paraître excessive. Elle l’est moins quand on sait que ce comédien de 30 ans, qui pendant l’année scolaire est aussi surveillant à mi-temps, va devoir enchaîner trois spectacles par jour du 7 au 31 juillet. Sarraute le matin, Ionesco l’après-midi et Camus le soir. Rien que ça. Et il est loin d’être le seul à jouer à ce rythme industriel.
Certains déboursent des sommes colossales, font des prêts et finissent endettés. Mais c’est aussi le seul endroit en France où on peut se faire un nom en partant de rien.»
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