La Tunisie ou l’art sans cesse renouvelé du compromis. Quatre mois après les élections législatives, le Parlement vient in extremis de voter sa confiance au gouvernement. En cas d’échec, le président de la République,qui n’a jamais caché son mépris pour les partis et les tractations politiques de coulisses, pouvait théoriquement dissoudre l’Assemblée des représentants du peuple.
La formation d’Elyes Fakhfakh, Ettakatol, ne compte aucun député dans le nouveau Parlement et lui-même n’était arrivé qu’en quinzième position, avec seulement 0,34% des voix, à l’élection présidentielle de l’an dernier.
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