Après l’attaque de Moscou, Vladimir Poutine, ici au Kremlin le 20 mars, n’a pas commenté la revendication de l’EI.Après l’attaque de Moscou, Vladimir Poutine, ici au Kremlin le 20 mars, n’a pas commenté la revendication de l’EI.responsables de la fusillade qui a fait 137 morts, affirmant qu’ils avaient été arrêtés en chemin vers l’Ukraine, sans jamais mentionner la revendication du groupe jihadiste État islamique .
D’autres voix occidentales se sont aussi élevées pour dénoncer la version russe faisant allusion à une complicité, voire une responsabilité ukrainienne. Le ministre britannique des Finances Jeremy Hunt a ainsi déclaré ce dimanche avoir« Nous savons qu’il crée un écran de fumée de propagande pour défendre une invasion totalement diabolique de l’Ukraine », dans une claire allusion à l’offensive russe en Ukraine.
« Ce n’est pas étonnant que cherchent à sortir d’une situation de faiblesse subie pour transformer en quelque chose de positif pour leur campagne contre l’Ukraine »de l’organisation terroriste, assure-t-il. le récit idéologique de Moscou qui veut que les adversaires soient uniquement l’Occident et les amis de l’Occident.
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