Les uns s’apprêtent à partir au Vietnam dans l’optique de ramener un acarien susceptible de venir à bout d’une liane envahissante. Les autres visent l’Australie pour y dénicher une coccinelle capable de se débarrasser d’insectes tueurs d’arbres. A la Réunion, les promoteurs de la lutte biologique reprennent du poil de la bête. Leur philosophie : introduire sur un territoire l’ennemi naturel d’un végétal ou animal nuisible et se passer de pesticides.
En 2007, les scientifiques du Cirad, un organisme de recherche agronomique, avaient introduit sur l’île une guêpe originaire de Java. La Cibdela, surnommée mouche bleue en raison de sa couleur, ne pique pas. En Indonésie, les larves de l’insecte se nourrissent uniquement des feuilles d’une ronce… qui prolifère à la Réunion.
La démarche apparaît noble et raisonnable, mais la question que je me pose tjrs c'est : est-ce qu'il faudra ensuite introduire de nouveaux ennemis pour éviter la propagation des ennemis premiers ?...
Malheureusement pour l'instant ça reste anecdotique, essentiellement pour la défense contre les 'pestes' végétales. L'agriculture reste massivement ancré dans nos vielles habitudes phytosanitaires...
👍👍👍👍
un jour on sera obligé d'en arriver aux mêmes conclusions concernant les médicaments chimiques … et on verra que ceux qui accusent aujourd'hui certains de charlatanisme sont en fait les vrais charlatans
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