, ce salon de beauté cache en réalité un laboratoire de “neurocosmétologie” tenu par des femmes noires qui ont développé leurs propres technologies de pointe pour lutter contre l'oppression. Installation de design spéculatif,questionne les biais sexistes et racistes des algorithmes dont sont victimes les femmes noires. »Caroline Martel
adore fouiller dans les archives et les réutiliser à la sauce numérique. Elle excelle dans l’art du documentaire, telMarie Lechner : « Dans ce film-collage d'archives rares, Caroline Martel donne corps aux opératrices de téléphonie – souvent décrite par le surnom glamour “la voix qui sourit” –qui, au siècle dernier, ont occupé une place centrale dans le développement des communications globales.
Marie Lechner : « Dans cette sculpture qui porte le prénom de la première sculptrice serbe, Aleksandra Domanović. Cette main resurgit dans le film d'horreur domotique,en 1977. Elle sert de prothèse à une intelligence artificielle maléfique qui séquestre l'épouse de son inventeur et cherche à se reproduire à travers elle.
Marie Lechner : « Morehshin Allahyari invoque les déesses et djinns puissantes du Moyen Orient pour adresser le colonialisme numérique contemporain. A partir d'archives et d'images, elle re-figure ces déesses sombres sous la forme de sculptures en impression 3D et de poèmes vidéo. »gaite-lyrique.
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