est animé par ce sentiment d’urgence prompte à laisser le public accroché à son siège.
Un périple aux airs de jeux vidéo, ne serait-ce que par la spécificité de son point de vue, qui amplifie cette expérience du réel, de la violence, de l'imprévu. Difficile toutefois de ne pas être là, à guetter la faille dans la matrice.
Nous avons résumé cette actualité afin que vous puissiez la lire rapidement. Si l'actualité vous intéresse, vous pouvez lire le texte intégral ici. Lire la suite:
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
Sam Mendes: «Selon les critères de Hollywood, “1917” est un film atypique»INTERVIEW - De passage à Paris début décembre, le cinéaste britannique revient sur le défi technique que représente son nouveau long-métrage, l’avenir du cinéma et Netflix.
La source: Le_Figaro - 🏆 15. / 73 Lire la suite »
« 1917 » : Sam Mendes dans l'enfer des tranchées« 1917 » est l'un des meilleurs films de guerre jamais réalisés. Voilà. C'est écrit. Gravé dans le marbre. Sam Mendes a déjà remporté...
La source: LesEchos - 🏆 85. / 50 Lire la suite »
Une plongée en immersion au cœur des combats en « 1917 »Le réalisateur Sam Mendes fait partager les épreuves de deux soldats en donnant l’illusion d'avoir filmé l'action de « 1917 », en salle ce mercredi, en un seul plan séquence معكم الفقيه المغربي السوسي للعلاجات و جلب الرزق و الخواتم الروحانية و علاج تقاف الجنس او النفس من اجل التواصل و طلب الكشوفات و ما غيرها من الطلبات والإستفسارات المرجو التواصل معي عبر الوتساب * 0641496279 او 00212641496279
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »
1917 : tournage en plan-séquence, claustrophobie... Sam Mendes dévoile les coulisses de son incroyable film de guerre (VIDEO)Dans 1917, le réalisateur Sam Mendes propose une plongée en apnée au coeur de la Première Guerre Mondiale, grâce à un procédé ultra-gonflé : un film en plan-séquence. Il nous raconte les coulisses de ce projet unique et de ce chef d'oeuvre déjà inoubliable.
La source: TeleLoisirs - 🏆 80. / 51 Lire la suite »
«Douze mille», «1917», «Swallow»... Les films à voir (ou pas) cette semaineDouze mille, de Nadège Trebal. Dans son premier long métrage, la réalisatrice narre l'histoire d'un couple en crise, basé sur l'égalité des revenus et du plaisir.1917, de Sam Mendes. Tout à ses ambitions visuelles dopées à la virtuosité technique, le film rejoue la Grande Guerre dans un spectacle immersif et sans point de vue. (Photo AFP)Je ne rêve que de vous, de Laurent Heynemann. Le biopic consacré à la compagne de Léon Blum, consternant tant sur le fond que la forme, est censé s'inspirer du livre de l'historienne Dominique Missika.Système K, de Renaud Barret. Tourné sur cinq ans, le documentaire fait le diagnostic social de la capitale congolaise où plasticiens, performeurs et musiciens puisent leur énergie rageuse dans la récup.Swallow, de Carlo Mirabella-Davis. La réussite du long métrage tient surtout au personnage de Haley Bennett, femme esseulée qui se met à engloutir toutes sortes d'objets.Les vaches n'auront plus de nom, de Hubert Charuel. Après «Petit Paysan», le réalisateur suit le départ à la retraite de ses parents éleveurs, et celui du troupeau vers une ferme «moderne».
La source: libe - 🏆 26. / 65 Lire la suite »
«Douze mille», «1917», «Swallow»... Les films à voir (ou pas) cette semaineDouze mille, de Nadège Trebal. Dans son premier long métrage, la réalisatrice narre l'histoire d'un couple en crise, basé sur l'égalité des revenus et du plaisir.1917, de Sam Mendes. Tout à ses ambitions visuelles dopées à la virtuosité technique, le film rejoue la Grande Guerre dans un spectacle immersif et sans point de vue. (Photo AFP)Je ne rêve que de vous, de Laurent Heynemann. Le biopic consacré à la compagne de Léon Blum, consternant tant sur le fond que la forme, est censé s'inspirer du livre de l'historienne Dominique Missika.Système K, de Renaud Barret. Tourné sur cinq ans, le documentaire fait le diagnostic social de la capitale congolaise où plasticiens, performeurs et musiciens puisent leur énergie rageuse dans la récup.Swallow, de Carlo Mirabella-Davis. La réussite du long métrage tient surtout au personnage de Haley Bennett, femme esseulée qui se met à engloutir toutes sortes d'objets.Les vaches n'auront plus de nom, de Hubert Charuel. Après «Petit Paysan», le réalisateur suit le départ à la retraite de ses parents éleveurs, et celui du troupeau vers une ferme «moderne». A l'assaut : Poème 407 : Gueule cassée, âme perdue : Poème 378 :
La source: libe - 🏆 26. / 65 Lire la suite »