. « Nous allons connaître un été 2023 extrêmement difficile, sans doute au moins aussi difficile que l’été 2022 », a d’ailleurs mis en garde le ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin, dépêché dans les régions sinistrées lundi matin. », confirme Pascal Mormal, de l’Institut Royal Météorologique de Belgique.
Le seul élément qui pourrait venir tempérer ces inquiétudes réside dans le signal « relativement neutre » au niveau des. « Cela voudrait dire qu’on n’aurait pas nécessairement un été très sec, explique le météorologue. On pourrait observer assez régulièrement des » Mais au contraire des pluies hivernales, les précipitations liées aux orages ne sont pas forcément bénéfiques pour les sols.
. « Cela devient usant pour la nature et la végétation, car il n’y a plus vraiment ce répit que pouvait habituellement fournir la période hivernale, pointe Pascal Mormal. Il y a donc quand même des inquiétudes sérieuses à nourrir pour les prochains mois.
« Je ne pense pas qu’on peut imaginer actuellement que la forêt ardennaise va s’embraser comme on peut le voir parfois en France. Mais par contre, dans les dix, vingt ou trente années à venir,
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