C’était il y a un an. Cela semble tellement loin. Et pourtant, politiquement, pour ce qui concerne l’échelon fédéral, la situation n’a pas fondamentalement changé : les trois mêmes partis qu’avant les élections sont toujours au gouvernement, qui a reçu la confiance du Parlement uniquement à cause de la situation sanitaire liée au coronavirus.
Un"turn-over" unique dans l’histoire politique belge, en tout cas contemporaine. Qu’ils et elle soient arrivés avant ou après le scrutin du 26 mai 2019 est un détail : ces nouveaux dirigeants de parti ont en commun de devoir relancer leurs formations politiques. Paul Magnette et le PS"dans la continuité" Le parti socialiste a obtenu ses pires résultats électoraux depuis le suffrage universel de 1948, rappelle Paul Magnette. Pour ce parti de gouvernement qu’est le PS, résister à l’effritement structurel de son électorat est le plus grand défi.
Seul changement tangible, pour le moment : la place des femmes."Chaque nouveau président apporte sa marque. Je crois que la parité et la féminisation des fonctions partout où on le peut, c’est quelque chose à quoi je tiens beaucoup.
Politiquement, le Montois voit surtout cette année passée comme celle de la fin de l’isolement politique de sa formation :"Globalement, on était très isolé par une situation politique qui était inédite, seul parti francophone dans la coalition fédérale. Nous avions facilement cinq opposants systématiquement à tous les débats, dans tous les débats en permanence.
Grâce aux succès électoraux du 26 mai 2019, le parti a pu se déployer en termes financiers et en moyens humains – on se souviendra des 300 emplois perdus après la défaite de 2014 – de quoi, selon Jean-Marc Nollet,"retrouver une place dans le schéma politique". Le Liégeois juge très positivement cette première année et évoque une première"victoire, très symbolique".
Des six formations politiques francophones présentes à la Chambre, le cdH est celui qui a le plus à perdre des années à venir. Une question de survie pour le cdH ?"Ne rien faire, c’est un risque. Les gens font la démonstration dans leurs votes qu’ils ne croient plus dans les partis historiques, traditionnels, ni dans leur capacité à venir avec des réponses à leurs besoins quotidiens", argumente le président orange.
Les débats inutiles recommencent. Tous ses sbires ne souhaitent que des élections favorisant les pangolins du PTB et d' Ecolo avec un PS continuant son oeuvre la destruction Belgique avec l'arrivée de l'extrême droite flamande. Voilà ce que sera le résultat de futures élections.
Rien à foutre.
Évolution, vous dites ? Régression plutôt 😱
Dommage que les partis n'aient pas succombé au covid-19!
Peu, hélas !
Je ne suis représenté par aucun de ces partis. Les flamands ont eux un vrai panel élargi.
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