Le président russe Vladimir Poutine a dit mardi vouloir"continuer le travail en commun" avec les Occidentaux sur la sécurité européenne pour désamorcer la crise autour de l'Ukraine."Nous sommes prêts à continuer le travail en commun. Nous sommes prêts à aller sur le chemin de la négociation"
Ces revendications sont la fin de la politique d'élargissement de l'Alliance, l'engagement de ne pas déployer d'armes offensives à proximité du territoire russe et le retrait d'infrastructures de l'Otan sur les frontières de 1997, avant que l'organisation n'accueille d'ex-membres du bloc soviétique. "Voulons-nous ou pas ? Bien sûr que non. C'est pour cela qu'on a avancé nos propositions pour un processus de négociations", a-t-il encore dit.La Russie, maître de l'Asie centrale:"L'Amérique a cessé de la considérer comme une priorité"
Moscou jugeant que les Occidentaux s'efforcent de renforcer leur propre sécurité aux dépens de celle de la Russie.
Mais qui a cru que Poutine voulait la guerre ? Beaucoup sont conscient que Poutine veut d'abord enrichir son pays pour gagner en puissance comme la Chine. Après il verra si il doit changer de cap..
Il le voulait depuis le début mais vous, les médias, avez uniquement relayé le point de vue américain. La couverture médiatique du dossier ukrainien est un cas d’école de la soumission des médias de grand chemin au récit de Washington.
Poutine ne fait pas la guerre avec des armes.C’est une guerre économique. Voir le prix du gaz, pétrole...qu’il revend 15 X plus cher qu’au peuple Russe. Il est gagnant avec l’économie qui reçoit bcp d’argent grâce gaz, pétrole..Un peuple qui mange suffisamment ne se révolte pas
Je vous l'avais dit, Poutine n'est pas pour la guerre. A la place de le fuir comme la peste, qu'ils écoutent ce qu'il propose. Quel intérêt il aurait à faire la guerre. Il ne craint rien de toute façon, c'est la plus grande armée au monde.
Il le voulait depuis le début mais vous, les médias, avez uniquement relayé le pont de vue américain. La couverture médiatique du dossier ukrainien est un cas d’école de la soumission des médias de grand chemin au récit de Washington.
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