Les Britanniques qui rient ou qui enragent, qui font la fête ou la tête: ces images datent du 31 janvier dernier à minuit, le jour du Brexit.Mais dans la pratique, rien n’a encore vraiment changé : un statu quo de 11 mois avait été décidé pour organiser la séparation, pour négocier ce que seraient les relations futures entre les"nouveaux" voisins.
11 tablées de négociateurs se sont à nouveau réunis simultanément, par vidéoconférence pendant quatre jours, pour tenter de trancher les nombreuses questions de l'après-Brexit: quelles relations commerciales entre les deux blocs? Quel accord sur la pêche ou les services financiers? Quelles coopérations policières? Quels garde-fous pour les échanges de données? etc.
Mais le ton n'est pas résigné: "Je n'ai aucun doute que nous trouverons, dans le courant de l'été et au plus tard au début de l'automne, un terrain d'entente", dit encore Michel Barnier. Des noeuds tenaces L'Union et le Royaume-Uni mènent un bras de fer sur plusieurs désaccords importants. Mais Londres veut au contraire s'affranchir des normes européennes et se diriger vers un accord moins contraignant, un accord classique de libre-échange, éventuellement assorti de petits accords sectoriels.
Réponse d'un haut responsable britannique à l'agence AFP: "Nous sommes attachés à la Déclaration politique. Nous la considérons comme un document qui fixe les paramètres. Mais pas comme un traité en soi.
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