Le texte, à l’initiative de l’ancien ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne, est en discussion depuis près d’un an et est décrié par les syndicats et tout un pan de la société civile, notamment car il menace le droit de manifester.« On ne va pas voter ce texte », confirme Paul Magnette. « Je reconnais que le fondement du texte était légitime.
Le président du parti socialiste épingle cependant des « problèmes liés au contexte ». « La question du droit de grève, la limite de 100 participants, la liste des articles du code pénal concernés avec un risque de réinterprétation. Les craintes des syndicats, de Greenpeace et des activistes climat sont légitimes.