C’est un évènement rare et attendu par bon nombre de candidats à l’espace. Cette année, plus de dix ans depuis la dernière campagne de sélection, l’ESA recrute à nouveau.
Ce qui me motive le plus c’est de faire avancer la science pour mieux comprendre l’environnement dans lequel on vit. Un métier certes passionnant, mais qui n’en reste pas moins risqué. "C’est un métier dangereux. Rien que pour y aller il y a des risques. Sur place on est en apesanteur et ce n’est pas bon pour le corps. On est soumis aux particules énergétiques du soleil et ça peut altérer la santé."
Malgré le danger possible de la fonction, c’est l’aventure qui excite les candidats. "Ce qui m’avait motivé, c’était de faire part de cette extraordinaire aventure qu’est l’exploration spatiale" ajoute-t-elle. "Le métier d’astronaute c’est la vitrine du programme spatial mais c’est aussi la partie plus palpitante.
"C’est dans l’ordre naturel des choses. C’est encourageant puisque les femmes ont autant de qualité que les hommes pour faire ce métier. Il ne faut pas nécessairement de force physique."
🎵On m'appelle Dirk Frimout🎵
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