Le bâtiment de sept étages était vide depuis quelques années. Vide mais avec des châssis, des sanitaires et un chauffage en bon état. Pour l’ASBL Chez Nous, Bij Ons, qui a l’habitude d’encadrer des personnes vulnérables dans leur recherche d’un toit, c’était une aubaine. Moyennant quelques aménagements, cet immeuble de bureaux pouvait héberger plusieurs familles, principalement des femmes sans papiers et leurs enfants.
Se sentir en sécurité pour réfléchir à sa situation personnelle "Avant, je vivais dans un grand squat, avec des hommes, ce n’était pas très propre. Ici, les enfants ne restent pas enfermés dans les chambres, ils circulent dans les couloirs. Tout le monde est plus à l’aise". Sans papiers, et donc sans revenu fixe, Nesa n’a pas grand espoir de trouver un logement autrement.
L’espoir de signer une convention d’occupation temporaire Combien de temps ces personnes pourront-elles rester dans l’immeuble ? Quelques mois sans doute, le temps de passer l’hiver. L’actuel propriétaire, la FGTB, avait prévu de réaliser des travaux. Dans l’attente des permis, il ne s’oppose pas à cette occupation et pourrait même signer une convention d’occupation temporaire qui autorise donc les familles à rester sur place.
Le témoignage d'un travailleur social - 10/10/2019 Écoutez gratuitement les podcasts du programme info en streaming sur Auvio. Écouter le podcast Le témoignage de l'occupant du squat au Sablon - 10/10/2019 Le témoignage de l'occupant du squat au Sablon Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité.
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