C’est devenu un bien précieux de par le monde. Il emplit ces grandes bouteilles cylindriques que l’on voit sur les photos du Brésil, de l’Inde ou du Pérou : l’oxygène. Dans ces pays, certaines régions sont asphyxiées, elles souffrent d’une pénurie de ce gaz utilisé pour soigner les malades du Covid.
En Belgique, six acteurs se partagent le marché. Au sein de machines que l'on appelle des ASU , elles séparent en fait l’air en oxygène d’une part et en azote d’autre part. Un nouveau container de 20.000 litres Avant la pandémie, les cliniques universitaires Saint-Luc, à Bruxelles, par exemple, avaient deux tanks à oxygène : un de 10.000 litres et un de 3000 litres. Avec la pandémie, la consommation de cet hôpital a été multipliée par deux voire par trois. Dès le mois de mars 2020, l’institution a donc décidé d’acquérir un nouveau container de 20.000 litres.
Lors de la première vague, on a eu des pics où la demande a augmenté de 200%. Et lors de la deuxième vague, c’est monté jusqu’à 350%.
avec des arbres on l'apprend à l'école :)
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