Le contenu intégré souhaite enregistrer et/ou accéder à des informations sur votre appareil. Vous n’avez pas donné l’autorisation de le faire.’on cultivait déjà le petit épeautre il y a douze mille ans
dans la région du Croissant fertile – même la Bible le mentionne –, le blé l’a largement supplanté au fil du temps. Mais le vent tourne. On retrouve, en farine ou en grains. Sa plus faible teneur en gluten en fait un ingrédient recherché par tous ceux qui éprouvent du mal à le digérer.
. L’autre élément qui joue en sa faveur est évidemment la demande des consommateurs, aujourd’hui plus attentifs à la qualité nutritive de leur alimentation. «On l’appelle épeautre, mais il n’en est pas, fait remarquer Isabelle Coupienne. Il s’agit d’engrain, qui donne au pain une texture plutôt moelleuse et une couleur un peu plus jaune.
. Cette céréale n’ en reste pas moins un produit de niche, qui se vend autour de sept euros le kilo en magasin. «La culture du petit épeautre est en plein développement en Wallonie et le nombre d’hectares cultivés progresse chaque année, embraie Ariane Beaudelot, coordinatrice du pôle développement de filières chez Biowallonie. L’an dernier, entre deux cents et trois cents hectares en étaient emblavés.
s, en oligoéléments et en fibres alimentaires. Autant d’atouts qu’il conserve évidemment même après le décorticage du grain, qui lui fait tout de même perdre 40% de son poids.Le petit épeautre, également appelé «engrain», porte en latin le nom de triticum monoccucum. On peut se procurer cette céréale sous forme de grains, de farine ou en flocons.
Belgique Dernières Nouvelles, Belgique Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
La source: sudinfo_be - 🏆 1. / 74 Lire la suite »
La source: LeVif - 🏆 6. / 67 Lire la suite »
La source: rtlinfo - 🏆 8. / 63 Lire la suite »
La source: sudinfo_be - 🏆 1. / 74 Lire la suite »
La source: LeVif - 🏆 6. / 67 Lire la suite »