Plus d’un milliard d’habitants d’Asie du Sud ont subi en mars et avril des températures extrêmes, bien au-dessus de 40ºC, avant même le début de la mousson. Et ce n’est pas terminé.
Et d’autres « impacts en cascade » sur l’agriculture, l’eau, l’approvisionnement en énergie sont déjà visibles, a souligné cette semaine le patron de l’Organisation météo mondiale Petteri Taalas. Dans une étude de référence publiée en 2017, son équipe et lui avaient estimé que près de la moité de la population mondiale serait exposée à une « chaleur mortelle » au moins 20 jours par an d’ici 2100, même si le réchauffement ne dépassait pas 2ºC de plus par rapport à l’ère pré-industrielle, objectif principal de l’accord de Paris.
En Inde et au Pakistan, les experts climats de l’ONU prévoient « des canicules plus intenses, plus longues, plus souvent ». « Quand on regarde l’écart par rapport à la normale locale, les vagues de chaleur en Inde et au Pakistan n’ont pas été si extrêmes jusqu’à présent », ont expliqué Vikki Thompson et son collègue Alan Thomas Kennedy-Asser.
La planète ne nous supporte plus . On est des parasites
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