Partout en Birmanie, les hôpitaux sont désertés, les administrations tournent au ralenti et les trains restent à quai.
"Les militaires ont besoin de prouver qu'ils savent gérer un pays. Mais si nous ne travaillons pas, leur plan de prise de pouvoir échouera", déclare à l'AFP une professeure d'université qui a demandé à rester anonyme. Au cours des trois semaines qui ont suivi le coup d'État, elle a refusé de donner ses cours en ligne.
Le secteur privé est lui aussi touché par les arrêts de travail dans les bureaux et dans les usines, et de nombreuses agences bancaires ne peuvent pas ouvrir. Sans eux, elle est incapable de collecter des impôts, d'envoyer des factures d'électricité ou d'organiser des tests Covid, tout simplement de faire fonctionner le pays.
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