Le régime horaire devra correspondre à la législation existante et la zone de secours devra motiver la décision d’introduire un système de 24 heures en fournissant une analyse de risques. Les syndicats devront également être consultés.
Un règlement alternatif devra toujours être prévu et les casernes devront être équipées de suffisamment de places de repos et de personnel. « Les pompiers veillent chaque jour à notre sécurité avec beaucoup d’enthousiasme et de dévouement », affirme la ministre Verlinden. « Certaines zones de secours et leurs collaborateurs souhaitent pouvoir exercer des shifts de 24 heures.
Les pompiers avaient déjà fait grève pour plaider pour le maintien de ces journées de travail de 24 heures. Ces longs horaires sont souvent choisis par les hommes du feu pour pouvoir organiser leur temps de travail en bénéficiant de jours de compensation en conséquence.