Dans une carte blanche, 29 enseignants à l’ULB marquent leur soutien à l’occupation de l’université, sur fond de conflit israélo-palestinien. En parallèle, ils rejettent l’accusation de déni d’antisémitisme subie par leur établissement.constitue pour nous une lueur d’espoir
Les détracteurs ne voient dans l’indignation étudiante face au massacre de plus de 35.000 Palestinien·nes, dont une majorité de femmes et d’enfants, qu’, et dans le refus de la rectrice et des autorités académiques de le réprimer « un syndrome de déni d’antisémitisme ». Ilsqui célèbre l’histoire des uns et nie celle des autres, et aboutit à légitimer les pires crimes et abus au nom de supposés principes moraux.
La lutte contre l’antisémitisme ainsi défini est d’ailleurs devenue le mot d’ordre de tous les mouvements postfascistes et d’extrême droite qui appellent à, sans avoir abandonné pour autant leurs préjugés antisémites. Ces mouvements peuvent même, bien qu’antisémites, être pro-sionistes, comme le sont certains groupes évangélistes.
«Nous ne pouvons soutenir la demande de censure qui représente une préjudiciable atteinte à la liberté de parole»
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