Cinq membres du COJO dont Aurélie Merle, directrice associée aux sports, sont venus étudier pendant une semaine la candidature hors norme de Tahiti pour l'organisation de l'épreuve olympique de surf. La qualité des vagues mais aussi la logistique, les accès et l'hébergement ont été au centre de leurs préoccupations.
Le spot de Teahupoo, où se déroule actuellement la septième manche du circuit pro, a reçu une attention particulière. La délégation du COJO, qui était accompagnée du président de la Fédération française de surf Jean-Luc Arassus et du DG de la Fédération internationale Roberto Fasulo, a pu admirer la puissante vague de près depuis la tour des juges, plantée dans le récif.
Le COJO s'est par ailleurs rendu sur le spot de Papara lors de l'inauguration d'un centre technique du surf. Ils ont déjeuné sur place avec le président du pays Edouard Fritch, avant de dîner le soir au restaurant du musée Gauguin. La vague de Papara, qui est un beach break contrairement à Teahupoo , ne leur a toutefois pas fait la même impression.
Cette visite n'a pas eu de grand retentissement dans les médias locaux et pour cause : après avoir vu une équipe de télé se procurer le programme des festivités et attendre de pied ferme le COJO à un point de rendez-vous, au belvédère de Taravao, le président Edouard Fritch a exigé des journalistes de ne plus suivre la délégation et de les laisser travailler tranquille. Ce qui a été respecté à la lettre.
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