est déjà en train de glisser sur les vagues. « En général, j’ai plus chaud une fois que j’ai mis ma combinaison et que je suis dans l’eau ».chaque semaine, « quand les conditions et [son] travail [le lui] permettent », pendant quarante-cinq minutes à une heure, « après, il commence à faire vraiment froid si tu attends trop », confie-t-il en souriant.
De retour dans les Alpes-Maritimes, Olivier Brunel achète du matériel et se met à la recherche des spots. « Juste à côté de chez mes parents, sur la plage de Gigaro, il y avait un super endroit pour surfer. J’y suis allé une fois, le lendemain d’une tempête et c’est là que j’ai commencé à vraiment croire que c’était possible et à scruter les endroits pour pouvoir pratiquer le plus souvent possible.
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