La scénographie du défilé Saint Laurent était comme un générique de film noir des années 1960, à l’époque où les crédits défilaient à l’écran dans des jeux d’ombre et lumière avant même que le film ne commence.
« Saint Laurent, c’est un danger. » affirmait Anthony Vaccarello, qui cette saison a délaissé les shorts de sa dernière collection pour des leggings en latex et une multiplication de blazers. Il s’est penché sur les années 1990, pas celles que l’on a vues et revues sur les défilés ces dernières années, et qu’on a volontiers fini par enterrer, mais celles de la bourgeoise Rive Gauche, imaginée par Yves Saint Laurent.
« J’ai voulu retrouver cet équilibre qui définit la modernité du style Saint Laurent, entre la maîtrise de la rigueur et l’abandon du plaisir. » précisait-il. Les contrastes de couleurs et de matières étaient extrêmes : une blouse transparente rose fuchsia une jupe en latex couleur encre, une robe en velours rouge sang, des violets, des roses, des bleus, des bermudas en cuir et de minuscules soutiens-gorge en dentelle.
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