« peuvent créer une vulnérabilité chimique, provoquer de la somnolence, des vertiges ou des malaises »
. Au procès de Salim Berrada, jugé pour treize viols et quatre agressions sexuelles en 2015 et 2016 sur des femmes rencontrées en utilisant sa qualité de photographe, une experte en toxicologie a décrit les effets de substances retrouvées dans les analyses d’urines et surtout de cheveux des plaignantes.par les parties civiles, mais sans pouvoir affirmer, pour chacune d’elles, que les produits aient été ingérés le jour des faits..
Les enquêteurs ont relevé des traces d’ecstasy, de sédatifs ou d’antihistaminiques chez plusieurs femmes, soupçonnant une soumission chimique. À la barre de la cour criminelle départementale ce mardi 19 mars, l’experte en toxicologie a détaillé huit analyses réalisées quelques jours ou quelques mois après les faits. Pour rechercher des produits pouvant être détectés.
« de plus en plus délivrés sur ordonnance, on retrouve désormais plus d’antihistaminiques, des produits qui restent beaucoup en vente libre »L’accusé de 38 ans a toujours nié les faits qui lui sont reprochés, parlant de relations consenties. Admettant seulement s’être servi de son métier pour attirer des femmes chez lui. Pour justifier les plaintes à son encontre, il a estimé qu’elles avaientJuventus Turin.
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