, est attendu, mais en Afrique, au Kenya plus précisément. Sa mission? Mater les mouvements rebelles prêts à tout pour renverser le régime du président Bamba. Une tâche, très périlleuse, pour laquelle il a dû faire équipe avec un autre agent secret, OSS 1001, incarné parPour la première fois, OSS 117 se retrouve obligé de s’associer avec un homme.
Un rapport de force bien différent des deux premiers films tant Hubert Bonisseur de La Bath tirait la couverture à lui. Dans, le trublion faisait équipe avec Larmina, campée par Bérénice Bejo. S’il est évident que cette dernière était là aussi plus intelligente que lui, jamais l’espion n’était apparu dépassé, semblant toujours sûr de sa force et de ses convictions mysogynes.
Sa mentalité, ses préjugés, son assurance, piliers centraux des deux premiers volets, volent presque en éclat face à la présence de cet “alter ego”. OSS 1001 incarne une évolution, une modernisation, tout le contraire d’OSS 117 en somme. Leur totale opposition est flagrante. Quand l’un se montre plus en phase avec l’époque, n’hésitant pas à assumer sa part de féminité par exemple, l’autre, moqueur, reste ancré dans ses principes.
Cependant, il est évident que la présence de ce nouvel agent permet de donner un second souffle au personnage joué par Jean Dujardin. Lui, raciste, sexiste, homophobe, se retrouve confronté à quelque chose qu’il ne connaît pas, qu’il ne comprend pas.“C’est la bonne idée de Jean-François Halin [scénariste du film, NDLR], indique Jean Dujardin dans, ce mardi 3 août.
Entre les deux premiers films, OSS 117 était resté le même, il n’avait pas bougé d’un iota. Camper sur ces mêmes positions semblait difficile dansL’espion, habituellement si sûr de lui, de son pouvoir de séduction ou encore de son talent, se retrouve à douter.
NicolasBedos respecte la charte humoristique de la licence OSS117 mais distille une charge politique digne d'un article rétrospectif du précieux hebdomadaire MondeDiplomatique
Chaque personnage du nouvel OSS117 est délicieusement caricatural et semble sortir d'une BD de Gotlib ou de Jean Cabu
Le comique de perruque a ses limites mais Pierre Niney est au-dessus de ça, son personnage est parfaitement crétin, il sait que quand on est juste on n'en fait jamais trop (phrase attribuée à la prof de la troupe du Splendide).
Son perso est vraiment pas terrible il n’apporte pas grand chose au film c’est dommage
C'est drôle comme manque d'humour, de discernement et d'intelligence dans sa critique primaire d'un film au second degré
Parce qu’il est meilleur acteur ?
Qui est ce dujardin
Vous n'avez pas compris que Miney incarne une forme d'Annakin Skywalker, le padawan dans l'épisode II & III. Il est énervé et ne peut rien faire de 'moderne' face aux contradictions de son vieux maitre Obi-wan-kenobi ! La scène poste générique pour preuve vu l'état de OSS 1001
Beaucoup plus androgyne…
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