. « J’avais envie de redonner à Marseille ce qu’elle m’a donné. Je m’y sens chez moi, indique ce dernier. Mon étiquette n’est pas politique, c’est le sport ».
Maud Fontenoy, vice-présidente à la région Paca au côté de Christian Estrosi puis Renaud Muselier, Pape Diouf candidat aux élections municipales en 2014 et un temps convoité par le socialiste Patrick Mennucci….
« A Marseille, les listes ont toujours été constituées avec des figures, des gens supposés faire venir d’autres voix, note Michel Samson, auteur de. Et Marseille est une ville populaire, au sens sociologique du terme, dans laquelle beaucoup de gens s’intéressent aux sports populaires. Et beaucoup de gens s’en foutent aussi de la politique et des municipales. Personne ne lit les programmes.
« Le nom peut jouer, mais les gens ne regardent pas ça, tempère Nora Preziosi. Ils regardent ce que tu peux leur apporter. Les gens votent pour l’intérêt de la ville, pour un élu de terrain, pour un élu de proximité. Ils ont besoin qu’on leur dise “Comment ça va le petit…” Et Eric Di Meco était un homme de terrain, qui connaissait ces quartiers », notamment après son expérience d’adjoint au sport de Jean-Claude Gaudin.
J aurais préféré des photos de ces politiques avec des pauvres
Z'ont des grosses bites ? J'ai bon ou pas ? 🤔
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