Seghir Lazri travaille sur le thème de la vulnérabilité sociale des athlètes. Dans cette chronique, il passe quelques clichés du sport au crible des sciences sociales, ou comment le social explique le sport, et inversement.
J’ai commencé à élaborer cette pièce, il y a quatre ans. Les publications disponibles concernant le football féminin à destination d’un public non spécialisé étaient peu répandues. J’ai commencé par lire les ouvrages sur l’histoire du football de Laurence Prudhomme-Poncet, puis à continuer avec des ouvrages plus sociologiques, notamment ceux de Béatrice Barbusse.
J’ai joué dans des lycées généraux, mais aussi des lycées professionnels, où il peut y avoir une répartition entre les sexes moins équitables, avec parfois des classes uniquement composées de garçons. Cela a été une expérience formidable. J’ai pu d’abord constater que les adolescents d’aujourd’hui étaient déjà familiers avec la question du genre.
Donne au peuple des jeux il ne se révoltera pas
Les matches ont été très occultés tout de même. La couverture médiatique a été très à minima. Pourquoi TF1 n'a t-elle pas diffusé tous les matches en direct ? Mystère ?
«Même concernant le football féminin, les garçons se sentent toujours plus légitimes socialement à en parler' : blablabla et blablabla.
Il n'y a pas si longtemps, les femmes se sentaient plus légitimes que les hommes pour parler des enfants (scolarité, soins, etc). Mais les temps changent...
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