Mère d'une petite Charlotte, née en 2012 à Lorient sans avant-bras gauche, Isabelle Taymans-Grassin raconte dans un livre son long combat, avec une dizaine d'autres familles, pour tenter d'identifier la cause de cette malformation, face à l'inertie des institutions de santé publique.
A la maternité, aucun médecin n'est capable d'expliquer les raisons de la malformation. Le gynécologue qui l'accouche a"tout de suite rebroussé chemin, comme effrayé par ce qu'il constatait". Celui qui a suivi sa grossesse tente, lui, de se dédouaner en expliquant que Charlotte a"perdu" son avant-bras en fin de grossesse...
Pour ce médecin, c'est l'occasion de trouver une cause commune, d'autant qu'elle apprend l'existence d'autres"cas groupés" en Loire-Atlantique et dans l'Ain, mis en évidence par le Remera, seul registre indépendant parmi les six chargés de consigner les malformations congénitales enAprès deux ans pendant lesquels"rien ne se passe", les médias s'emparent de l'affaire à l'automne 2018, quand...
Je m’en veux d’avoir pensé à l’association d’idée entre l’absence d’avant bras de la petite Charlotte et la grosse gifle reçue par les parents... mais c’est un peu maladroit le contenu de votre Tweet pour relayer l’article où ce n’est pas écrit de la même façon...
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