"Ce qu'il va falloir reconstruire, ce n'est pas seulement ce qui a été brûlé, il va falloir reconstruire ce qui a été déconstruit pendant des décennie", a en outre estimé Bruno Retailleau, sénateur de la Vendée, sur RTL, ce mardi 11 juillet.
Une facture bien salée. Les dégradations liées aux violences qui ont suivi la mort de Nahel, tué le 27 juin par un policier, vont coûterselon leur fédération professionnelle ce mardi 11 juillet, soit plus du double des 280 millions d'euros anticipés la semaine dernière.
Un coût qui a fait réagir Bruno Retailleau, sénateur de la Vendée et président du groupe LR au Sénat, suralors que des voyous saccagent leurs propres quartier, c'est tout le problème", a-t-il estimé."Ce qu'il va falloir reconstruire, ce n'est pas seulement ce qui a été brûlé, il va falloir reconstruire ce qui a étéet ça c'est un défi autrement plus important.
"La nature des sinistres liés aux violences de ces derniers jours est donc très différente de ce que notre pays avait connu en 2005", complète Florence Lustman. A l'époque, les dégradations et incendies aux véhicules avaient représenté plus de 80% des sinistres pourReste à savoir si les assureurs réagiront de la même manière qu'à l'époque.
En 2006, la mutuelle d'assurance des collectivités locales , en première ligne cette année, avait par exemplefaute d'un accord amiable sur l'indemnisation des violences urbaines de novembre 2005.
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