Projet totalement improvisé par la féministe, cette dernière précise que les bases proviennent néanmoins d’une certaine concordance entre sa série de podcasts féministes YESSS et son expérience deYESSS est un podcast résolument positif où l’on célèbre les victoires de femmes contre le sexisme, surnommé les warriors du quotidien.
Anais Bourdet est comme requinquée. Il est difficile de dire si elle est remise de son burnout mais les messages de soutien qu’elle a reçus en travaillant sur Paye ta Shnek lui ont été d’une aide précieuse.. Cette dernière indiquait, sur une publication Facebook mettant fin à son blog, l’impact que pouvait avoir son travail sur son moral, sa santé et sa vie personnelle. “Je n’en peux plus.
Lutter en montrant des messages de sororité, c’est-à-dire de solidarité entre les femmes, Anaïs Bourdet le fait à présent en prenant en compte son moral. ″Ça nous fait du bien de lire des messages de sororité, alors je lance un compte Instagram dédié aux actes de solidarité spontanée” précise-t-elle à la fois pour elle et toutes les femmes.Le nom de la page fait référence à une expression de sa génération.
En ce qui concerne le logo, il est fait de la main même de la militante. Étant elle-même graphiste, la symétrie qu’on retrouve correspond à l’idée d’un vécu commun parmi toutes les femmes et de la possibilité à chacune de se serrer les coudes ensemble.
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