BIRMANIE – À partir de rapports parcellaires, la chercheuse à l’Iseas Moe Thuzar avance le chiffre 'de 90 % de grévistes dans certains ministères'.
Au moment où le pays connaît une répression meurtrière croissante, l’administration connaît un vaste mouvement de désobéissance civile et de grève, que la junte tente de museler.
Des manifestants derrière une barricade à Rangoun, ce mercredi.(AFP)Arnaud Vaulerinpublié le 3 mars 2021 à 15h48A côté de la répression et des violences qui ont encore endeuillé la Birmanie ce mercredi avec au moins 9 morts et des dizaines de blessés, une autre bataille fait rage dans le pays : les défections et
le rôle crucial des fonctionnaires dans cette criseappelée à durer. Avec le risque que ce bras de fer soit l’un des ferments d’une guerre civile, chaque jour plus probable.La meilleure illustration de cette situation tendue est celle de l’ambassadeur birman aux Nations unies, Kyaw Moe Tun.
le diplomate nommé par le président civil birman et le gouvernement dirigé par Aung San Suu Kyi avait, avec éclat, rompu avec la junte. « Lire la suite: Libération »
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