ParLes NFT s'invitent à Hollywood pour tenter de casser les codes. Face au financement « archaïque » des mythiques studios américains, le producteur Niels Juul veut utiliser les jetons non fongibles, qui, pour financer ses futurs films. Un pied de nez au système actuel, selon le producteur, qui ne laisse pas de chance aux petites productions.
Pour son premier film 100 % NFT, Niels Juul s'allie à un ponte du cinéma, Martin Scorsese qui réalisera « A Wing an a Prayer », retraçant l'histoire du premier homme à faire le tour du monde en ULM. Le financement de ce projet se fera via la société NFT Studios, fondée par le producteur lui-même, avec laquelle il espère lever entre 8 et 10 millions de dollars, grâce à la vente de 10.000 NFT.
A la clé pour les investisseurs : une part des bénéfices, une rencontre avec les stars de la production, et une place pour la première, apprend-on dans le «L'objectif est donc de « démocratiser » le financement des oeuvres cinématographiques, martèle Niels Juul dans le quotidien britannique.
Le milieu du cinéma n'est pas une terre vierge pour les NFT. En novembre dernier, le studio Warner Bros annonçait la vente de jetons non fongibles. Plus récemment, Quentin Tarantino a tenté de vendre des extraits inédits de son film culte, Pulp Fiction, sous forme de NFT, poussant le studio Miramax, détenteur des droits du film, à poursuivre le réalisateur en justice pour conflit d'intérêts.
Système pyramidale qui profite qu'au plus riche . Faite très attention a cet arnaque du siècle
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