Facebook a le vent en poupe malgré les multiples attaques des autorités et de son voisin Apple, mais les menaces se précisent et s'accumulent au point que le géant des réseaux sociaux prévoit un"modeste ralentissement" de sa croissance.
"Il y a une demande énorme pour la publicité sur Facebook et Instagram, ce qui pousse les prix vers le haut", a commenté l'analyste Debra Aho Williamson de eMarketer.Cette tendance va continuer le reste de l'année. L'entreprise est bien partie pour parvenir à plus de 100 milliards de recettes publicitaires cette année, pour la première fois, d'après le cabinet spécialisé.
"Nous pensons que les mises à jour d'iOS auront un impact plus prononcé au troisième trimestre", a détaillé la société. C'est 12% de plus qu'il y a un an."L'audience massive de l'entreprise est sans équivalent", a réagi Debra Aho Williamson, qui note cependant un tassement dans les marchés où les utilisateurs rapportent le plus à Facebook.
Il y a dix jours, le président américain Joe Biden a estimé que Facebook et d'autres plateformes"tuaient" des gens en laissant circuler de fausses informations sur la vaccination contre le Covid. Pour l'heure, ces menaces glissent sur la côte Ouest des Etats-Unis sans entamer les profits ou les perspectives des colosses technologiques.a d'ailleurs passé une bonne partie de la conférence à décrire sa vision pour le"metaverse"
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