, juste devant sa voisine Nantes. Il y a pourtant un revers de la médaille. Depuis quelques années, Rennes doit faire face à une pénurie de logements. A chaque rentrée universitaire, les étudiants, très nombreux dans la ville, galèrent pour se loger, et les futurs acquéreurs rament également pour trouver un bien.
« Quand une agence en rentre un, il va être vendu dans la semaine », souligne Corinne Rimasson, notaire à Bruz, au sud de Rennes. Cette raréfaction a pour conséquence une flambée des prix. Malgré la crise sanitaire, cette tendance s’est encore confirmée l’an dernier avec une hausse de 7,4 % à Rennes selon les chiffres de la Fédération nationale de l’immobilier.
Très recherchées, les maisons anciennes se vendent à prix d’or. En dix ans, leur prix a bondi de plus de 60 %. « On reste toutefois à Rennes sur un marché résidentiel, on n’est pas ici dans une bulle spéculative », indique Richard Levionnois, notaire à Saint-Gilles et président de la chambre des notaires d’Ille-et-Vilaine.Cette tendance à la hausse des prix se retrouve dans tous les quartiers rennais.
Pour les migrants et les CNI CAF braguettes ?
Pas d'aéroport, pas de logements.
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