Il y a sans doute des œuvres plus sacrées que d’autres pour leur auteur. Dans, Wajdi Mouawad dresse le portrait tragicomique de sa mère, saisie juste avant qu’elle ne meure à 55 ans, durant ces quelques années qu’elle passa en exil à Paris, avec ses deux enfants, loin de son mari qui survivait sous les premières bombes de l’interminable guerre civile libanaise, au virage des années 1970-1980.
Sur le plateau, Wajdi Mouawad en personne, dans son propre rôle, à 53 ans , mais aussi Wajdi petit garçon , mais aussi Christine Ockrent pour la première fois sur les planches et dans son propre rôle - celui d’ex-présentatrice du journal du soir de feue Antenne 2 - et enfin les actrices libanaises Odette Makhlouf dans le rôle de la sœur et Aïda Sabra dans le rôle de la mère.
mariecchambel Des gauchistes perturbant d autres gauchistes. Des délires de petits parisiens autocentrés et narcissiques. Les bobos s amusent pendant que la France coule. Triste. Le théâtre n est plus qu un art de bobos coupé du réel
Un petit tweet , une pensée ?
Pas d'écriture inclusive sur 'militants féministes ', surprenant
🚨Des membres des groupes fascistes la Cocarde, Zouaves Paris, AF, Nemesis, armés, ont attaqué la manifestation féministe en fin de parcours. noustoutes combattonslefascisme GiletsJaunes Vidéo twitter Marthe Dolphin
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