, à 56 ans, c’est tomber tout court : de sa chaise, mais aussi tomber du dancefloor sur lequel ce DJ anglais nous a appris, mieux qu’aucun autre, à nous tenir, nous mouvoir, vivre.
C’était à la fin des années 1980 et le jeune Andy Weatherall, après quelques années à vivre entre sa collection de disques et les clubs comme l’Hacienda de Manchester où il revendait à la sauvette de l’acide, se faisant pourchasser par les dealers plus aguerris, s’était retrouvé dans un studio, avec les garçons d’un groupe de rock indé alors en plein naufrage,.
D’un coup, une génération entière se mettait à danser, partout, de Londres à Paris et New York. Dans la foulée, les remixes de Weatherall permettaient de réinventer des genres : après Primal Scream, ce fut le tour de, auquel il administra une terrible dose d’acide, avec sa version lancinante du morceau « SoonWeatherall n’allait pas s’arrêter en chemin. Il lança plusieurs labels, et au moins deux groupes.
Il suffisait de regarder son allure : il portait les tatouages des marins, les dénims des ouvriers, les chemise à carreaux des hommes des bois. Sa barbe était celle d’un druide et il arborait une longue mèche blanche qu’il rabattait en arrière. Résolument rétro. Pourtant, vers 2010, toute la technosphère finira par adopter son look.
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