Si la destruction d’un objet en orbite représente l’acte le plus radical, qui serait vu comme un acte de guerre, elle n’est pas la plus probable, compte tenu des débris spatiaux qu’elle générerait.Aujourd’hui, la guerre au sol se gagne en partie dans l’espace exo-atmosphérique grâce aux moyens de transmission ou d’observation. Dans le futur, les matériels, qui seront connectés entre eux via des satellites, traiteront d’immenses masses de données.
L’affrontement semble inéluctable entre puissances spatiales.Depuis le premier vol de Spoutnik, lancé par l’Union soviétique en 1957, la conquête spatiale a été indissociable des ambitions de puissance étatiques. Aujourd’hui, l’espace est une composante essentielle de la vie économique. Si la capacité de lancement d’une fusée demeure rare, près de 90 États disposent d’au moins un satellite en orbite. Le Cnes recense quelque 22.
Bonne blague. La 7ième compagnie capable à rien. Nous sommes des clowns par rapport aux autres.
Et la guerre contre le covid,elle ressemble à quoi...à rien !!
A rien si la pandémie perdure, si les économies s’effondrent. de toute façon le capitalisme, tel qu’il existe depuis Venise au XVème siècle, vit ses derniers jours....alors la guerre spatiale ce sera contre...les Klingons ou les romuliens mais on sera vaincu à plat de couture !
A la lente agonie de l’espèce humaine.
Star War
C est confirmé le Figaro a quitté la terre. Bon vu les articles on s en doutait
Le complexe militaro-industriel sauce Biden en Marche.
On n’arrive pas à stopper un virus « basique »et on nous parle de guerre spatiale ... bref non ?
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