"Ça nous a pris comme des lapins dans les phares" : Marc Simoncini ébloui par Ashley Taieb dans Qui veut être mon associé ? (VIDEO)

Ce fut l’une des séquences fortes du dernier numéro de Qui veut être mon associé ?, diffusé mercredi 27 janvier sur M6. À seulement 29 ans, Ashley Taieb a réussi à convaincre les cinq professionnels de l’émission à investir dans le projet de sa vie. Après avoir vécu dans la rue pendant quatre longues années et avoir été accro aux drogues dures, la jeune femme a repris son destin en main en apprenant qu’elle était enceinte et a décidé de créer My Addie, une application qui accompagnent les personnes qui souffrent d’une addiction. Neuf mois après le tournage, l’entrepreneuse s’est créé une véritable communauté en lançant sa propre chaîne Youtube et se prépare à lancer son application "au deuxième semestre 2022", comme elle nous l’a expliqué.

Marc Simoncini admiratif d'Ashley Taieb

Invité dans C à vous ce vendredi 28 janvier, Marc Simoncini n’a pas tari d’éloges à l’égard d’Ashley Taieb, dont la spontanéité et les talents d’oratrice l’ont immédiatement séduit. "On a vu une centaine de candidats l’année dernière, une centaine cette année, et il y a des gens comme elle qui prononcent trois mots et qui vous emportent. Cette fille est extraordinaire parce qu’elle a une histoire, elle était à la rue, elle était accro au crack, elle est tombée enceinte, elle a arrêté le crack uniquement grâce à sa volonté, et elle voulu partager son expérience", a déclaré le fondateur du site de rencontres Meetic. "C’est un sujet lourd et la manière dont elle en parle, les mots qu’elle utilise, sa gestuelle, son enthousiasme, sa lumière… Ça nous a pris comme des lapins dans les phares et on s’est fait porter. Je n’ai pas vu le temps passer."

"Un entrepreneur doit emporter les gens avec qui il travaille"

Pourtant, Marc Simoncini n’a "pas du tout" été convaincu par le projet d’Ashley Taieb au départ. "Son projet n’avait ni queue ni tête. Faire une application à 39 euros pour que les gens arrêtent d’être addict, ça n’a aucun sens et on le lui a dit. Et puis on s’est dit qu’on ne pouvait pas la laisser et qu’on allait faire autre chose, n’importe quoi. Si elle nous avait demandé monter un camping-car pour aller distribuer des tracts, on lui aurait quand même filé 100 000 balles parce que ce sont des gens comme ça qui ont cette lumière et cette énergie", a confié l’investisseur. Et de conclure au sujet de la talentueuse jeune femme : "Ça, c’est une entrepreneuse ! Parce qu’elle vous emporte. Et un entrepreneur doit emporter les gens avec qui il travaille et qui sont souvent meilleurs que lui."