Ce lundi 17 janvier, Laurent de La Clergerie, président de LDLC, va être en immersion dans son entreprise dans Patron Incognito. Il va même prendre une initiative complètement folle. Une grande première dans l'émission de M6.
Les chefs d'entreprises se suivent mais ne se ressemblent pas. Ce lundi 17 janvier, M6 diffuse un nouveau numéro de Patron Incognito. Après une émission consacrée à l'enseigne Les Burgers de Papa, les téléspectateurs vont faire la connaissance de Laurent de La Clergerie. A 51 ans, ce dernier est le président de LDLC, le numéro 1 du matériel informatique et du high-tech en France. Pour cette nouvelle immersion auprès de ses employés, le patron va ainsi se faire passer pour un certain Fabien, demandeur d’emploi en reconversion. L'objectif : face à une concurrence, il souhaite s’assurer de la pérennité de son entreprise tout en faisant le bilan de sa politique sociale. Comme le rappelle le programme, Laurent de La Clergerie est le premier patron français à avoir instauré la semaine de 4 jours pour ses équipes. Pour ce faire, le chef d'entreprise va donc changer de vie durant quelques jours.
"Je ne devais pas le dire à ma femme"
Comme tous les autres candidats de Patron Incognito, Laurent de La Clergerie va ainsi passer par la case relooking afin que ses employés ne le reconnaissent pas. Pas de perruque cependant pour le chef d'entreprise : ce dernier a opté pour un changement radical en se rasant la tête ! Pas question pour lui d'être démasqué en pleine immersion et de gâcher le tournage. Il a donc donné de sa personne afin d'éviter également les déguisements parfois ratés ou trop grossiers. Dans les colonnes de Télé Star, Laurent de La Clergerie a également assuré que sa femme n'était pas du tout au courant de son coup de folie. "Je ne devais pas le dire à ma femme pour qu'elle ait la surprise lors du tournage. Je me demandais quelle serait sa réaction…", a-t-il expliqué. Autant de précautions prises afin que personne ne le reconnaisse. Reste à savoir si aucun de ses employés ne l'a reconnu grâce à sa boule à zéro. Rien n'est moins sûr.
