A Shenzhen, les premiers robots-taxis s'immiscent dans la circulation chinoise Contenu réservé aux abonnés
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Testés par la start-up chinoise DeepRoute.ai, une vingtaine de taxis sans chauffeur circulent dans le quartier des affaires de Futian, au plein coeur de Shenzhen. La ville veut être la capitale du véhicule autonome en Chine.
La voiture électrique freine, puis s'écarte en douceur lorsqu'un livreur en scooter arrive en contresens. L'homme assis à l'avant n'a pas touché les pédales ni le volant. Ne l'appelez surtout pas conducteur mais « opérateur de sécurité ». Car il est uniquement là pour intervenir en cas d'urgence à bord de ce robot-taxi se frayant un chemin dans la circulation dense de Shenzhen, mégapole tentaculaire du sud de la Chine.
Développé par la start-up chinoise DeepRoute.ai, il fait partie des 20 véhicules autonomes autorisés à embarquer des passagers en condition réelle de circulation depuis l'été dernier. A quelques kilomètres de là, ce sont les robots-taxis de la start-up AutoX qui parcourent les rues du quartier de Nanshan mais sans emporter encore de passagers.
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