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EN DIRECT - Guadeloupe: Jadot trouve ça normal que l'Etat "engage des forces pour tenter de rétablir la paix"

Yannick Jadot, à Paris, le 22 septembre 2021.

Yannick Jadot, à Paris, le 22 septembre 2021. - STEPHANE DE SAKUTIN © 2019 AFP

Le candidat d'EELV à la présidentielle s'est exprimé sur la situation en Guadeloupe.

C'est la fin de ce Live

Merci à toutes et à tous de l'avoir suivi.

Yannick Jadot condamne "toutes les violences et les destructions" en Guadeloupe

Yannick Jadot, le candidat d'EELV à l'élection présidentielle, s'est exprimé ce dimanche concernant la situation en Guadeloupe, sur le plateau de LCI.

Le député européen a condamné "toutes les violences et notamment les destructions de magasins, d'habitations et de bâtiments publics. C'est terrible et intolérable et il est normal que l'Etat engage des forces pour rétablir la paix en Guadeloupe."

"Ce qui nous manque le plus à gauche, c’est l’espoir que ça change sincèrement", explique Fabien Roussel

"Ma gauche à moi croit au travail et aux salaires": le candidat communiste à la présidentielle Fabien Roussel s'est concentré dimanche, dans son meeting de plein air à Paris.

"Ce qui nous manque le plus à gauche, c’est l’espoir que ça change sincèrement", a affirmé sur notre antenne Fabien Roussel.

Jean-Christophe Lagarde fait son mea culpa après des propos violents à l'égard d'Éric Zemmour

Le président de l'UDI Jean-Christophe Lagarde a présenté son mea culpa, ce dimanche, après des propos violents tenus à l'égard d'Éric Zemmour sur le plateau de franceinfo.

Un peu plus tôt ce dimanche, Jean-Christophe Lagarde avait déclaré à légard du polémiste: "se foutre du monde au point de dire 'je suis un RPR'... Mais M. Zemmour, si M. Pasqua était là, il te filerait une balle dans la tête".

"Je regrette mon expression totalement inappropriée à propos de Pasqua et Zemmour ce matin, je voulais dire qu’à l’époque une telle imposture de sa part aurait eu une réplique des plus cinglantes", a finalement tweeté le député ce dimanche. "La violence doit toujours être bannie du débat politique. Mea Culpa "

Laïcité: "avec Mélenchon, il y a des jours pairs et des jours impairs", dénonce Marlène Schiappa

Interrogée sur France Inter, Marlène Schiappa a aussi évoqué le thème de la laïcité, sujet phare de la campagne pour l'élection présidentielle.

"Certains candidats sont clairs sur ce sujet. C'est le cas de Fabien Roussel. Mais par exemple, on ne sait pas ce que pense de ce sujet Europe Ecologie-les-Verts", a-t-elle expliqué.

A la France Insoumise, "il y a des jours pairs et des jours impairs", a-t-elle par ailleurs dénoncé.

"Il faut mieux s'emparer du combat pour l'égalité salariale", assure Marlène Schiappa

Invitée sur France Inter ce dimanche, Marlène Schiappa a de nouveau défendu le bilan d'Emmanuel Macron sur la question des violences conjugales. "On a beaucoup fait pendant ce quinquennat sur cette question", a-t-elle assuré. "Nous vivons une transition féministe", a-t-elle poursuivi. ""C'est long pour que ça porte ses fruits".

"Vous avez eu quatre lois en quatre ans pour améliorer le droit des femmes et il faut maintenant que cela descende sur le terrain", a-t-elle ajouté.

La ministre faisait référence aux lois de 2018 sur la lutte contre les violences contre les femmes et sur la liberté de choisir son avenir professionnel, celle de 2019 créant notamment le bracelet anti-rapprochement et celle de 2020 en faveur des femmes victimes de violences conjugales.

"Désormais, il y a ce combat pour l'égalité salariale dont il faut mieux s'emparer", a-t-elle poursuivi.

Marlène Schiappa répond au #Metoo politique

"Des violences sexistes et sexuelles, il en existe hélas dans toute la société et c'est bien si ça peut rendre visible le fait que dans le milieu politique c'est aussi difficile."

Marlène Schiappa a réagi, ce dimanche, sur France Inter, au #Metoopolitique, vague de témoignages sur des cas d'agression sexuelle dans le milieu politique.

"Qu'elle y reste": Jean-Yves Le Drian réagit au retour de Sophie Pétronin au Mali

Le ministre des Affaires étrangères a par ailleurs réagi avec fermeté à l'annonce du retour de l'ex-otage Sophie Pétronin au Mali.

"Qu'elle y reste", a-t-il lancé. "Pendant plusieurs mois voire plusieurs années, on a mobilisé les services secrets et des militaires pour sortir cette femme de sa situation d'otage. On l'a ramené et elle repart en disant "je suis bien là... "Si elle est bien au Mali, qu'elle y reste!", a-t-il insisté.

Accords de pêche: "le Royaume-Uni teste l'UE", selon Jean-Yves Le Drian

Interrogé sur les accords de pêche post-Brexit, sujet de frictions entre la France et le Royaume-Uni, Jean-Yves Le Drian a affirmé, au micro de RTL, "qu'il faudra sans doute prendre des mesures après les discussions.

"Selon qui le Royaume-Uni "teste" l'Union européenne.

Boris Johnson est "un populiste qui utilise tous les éléments à sa portée pour mettre sur les autres la faute des problèmes qu'il rencontre en intérieur", a-t-il par ailleurs tancé.

Jean-Yves Le Drian s'inquiète du sort de la joueuse de tennis chinoise Peng Shuai

"Je n'attends qu'une chose : qu'elle parle". Jean-Yves Le Drian a réagi, ce dimanche, à l'affaire de la joueuse de tennis chinoise Peng Shuai, au micro du Grand Jury.

Après des semaines sans avoir été vue en public, l'ex N.1 mondiale du double et star dans son pays, elle est est apparue ce dimanche à un tournoi de tennis à Pékin, selon les photos officielles de l'événement.

La France "tirera des conséquences diplomatiques" si la Chine n'offre pas plus de clarté sur le sort de la joueuse, a avertit le ministre.

Bardella annonce le lancement de la campagne à partir de la mi-janvier

"Nous lancerons la campagne [de Marine Le Pen] officiellement à partir de la mi-janvier", a annoncé Jordan Bardella dimanche midi dans BFM Politique.

Pour Jordan Bardella, Éric Zemmour "n'est pas équipé" et "s'enferme dans une forme de brutalité"

Éric Zemmour "n'est pas équipé, (...) il passe son temps à taper sur tout le monde", a déclaré Jordan Bardella sur BFMTV ce dimanche.

"Le reproche que je peux faire à Eric Zemmour, c'est de ramener le camp national que nous portons et ses idées, 30 ans en arrière", a poursuivi le président du Rassemblement national. "Il s'enferme lui-même dans une forme de brutalité qui ne permet pas d'arriver au pouvoir".

Masque en extérieur: "il faut éviter de retourner en 'absurdistan', selon Bardella

Interrogé sur un éventuel retour du masque en extérieur pour endiguer la reprise épidémique, Jordan Bardella a considéré qu'il fallait "éviter de retourner en 'absurdistan'". "Je ne crois pas qu'il faille fermer les marchés de Noël", a-t-il estimé dans BFM Politique, ni imposer le masque dans les stations de ski. "Il faut savoir raison garder", selon lui.

"Nos territoires d'outre-mer ont été totalement abandonnés par les pouvoirs publics"

Face aux émeutes qui secouent la Guadeloupe ces derniers jours, le président du RN a dit "comprendre" la colère des Antillais. "Les territoires d'outre-mer ont été totalement abandonnés par les pouvoirs publics", a-t-il déclaré sur BFMTV. "Emmanuel n'a déjà pas compris la colère des gilets jaunes. Il n'a pas compris cette France-là, alors il est difficile de comprendre une population à 10.000 km", a encore dénoncé Jordan Bardella.

Et de poursuivre: "il y a des violences, je les condamne. Mais la violence s'installe dans ce mépris".

Bardella favorable à "un plan Marshall pour l'hôpital public"

Jordan Bardella a plaidé en faveur d'"un plan Marshall pour l'hôpital public", ce dimanche sur notre antenne, considérant que les soignants étaient "à bout", "démunis" au milieu de cette crise sanitaire.

"Il faut un moratoire sur les fermetures de lit", a encore lancé le président du parti d'extrême-droite, appelant à augmenter les salaires du personnel soignant.

Covid-19: Bardella "inquiet" de ne pas voir "de stratégie claire de la part du gouvernement"

Invité de BFM Politique ce dimanche midi, le président du Rassemblement national Jordan Bardella s'est dit "inquiet" de ne pas voir "de stratégie claire de la part du gouvernement" face à la dégradation de la situation sanitaire en France.

"On voit que le vaccin n'est pas la solution miracle", a déclaré le président du parti (...). Or, "on connaît les publics à risque, il faudrait commencer par une politique de ciblage des publics à risque", a-t-il estimé.

Pass sanitaire dans les stations de ski: il "deviendra nécessaire" quand le taux d'incidence dépassera 200

Sur Europe 1 ce dimanche, Gabriel Attal a estimé que le pass sanitaire "deviendrait nécessaire" dans les stations de ski "dès lors que le taux d'incidence au niveau national serait au-dessus de 200 pour 100.000 habitants". "Aujourd'hui, on est à 164 donc probablement on y sera", a poursuivi le porte-parole du gouvernement.

Attal qualifie la situation en Guadeloupe d'"absolument intolérable et inacceptable"

Le porte-parole de gouvernement Gabriel Attal a qualifié la situation en Guadeloupe d'"absolument intolérable et inacceptable" ce dimanche à l'antenne d'Europe 1, alors que des émeutes ont éclaté ces derniers jours sur l'île antillaise.

Selon lui, une "petite minorité qui bloquait par les mots et les paroles, s'est radicalisée et essaie de bloquer et d'intimider par la violence" les soignants et les personnes qui ont finalement décidé de se faire vacciner. Il a ainsi fait référence à des "soignants menacés", "des pharmacies empêchées d'ouvrir" et "les ambulances bloquées sur les barrages".

Pour Gabriel Attal, "cette 5e vague commence de façon fulgurante"

"Cette 5e vague commence de façon fulgurante", a considéré le porte-parole du gouvernement, invité du "Grand Rendez-vous" sur Europe 1 ce dimanche. "On a une augmentation des cas de quasi 80% en une semaine", s'est alarmé Gabriel Attal, "avec 17.000 cas quotidiens".

"On a des éléments qui peuvent à la fois nous inquiéter et en même temps nous rendre confiant", a-t-il poursuivi, rappelant qu'un Conseil de défense sanitaire aurait lieu au sommet de l'État la semaine prochaine.

Et de considérer: "étant donnée la rapidité de l’augmentation du taux d’incidence, nous serons probablement à 200 de taux d’incidence dans les prochains jours".

Les Républicains "ne sont plus un parti de gouvernement": Darmanin étrille son ancien camp

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin s'en est pris à son ancienne famille politique, dans une interview au Parisien publiée ce samedi. Dans cet entretien, il estime que Les Républicains "ne sont plus un parti de gouvernement tant ils sont partis à l'extrême".

>> Retrouvez notre article: Les Républicains "ne sont plus un parti de gouvernement", Gérald Darmanin s'en prend à la droite.

Congrès Les Républicains: Aubert apporte son soutien à Ciotti

Le président d'Oser la France Julien Aubert a affirmé au JDD qu'il apporterait son soutien à Éric Ciotti lors du congrès où Les Républicains désigneront leur candidat à la présidentielle, même si son mouvement "restera neutre".

"Éric Ciotti ayant repris la totalité de nos propositions, j'estime logique de lui apporter mon soutien pour le premier tour", a expliqué le député LR du Vaucluse. Eric Ciotti "est beaucoup plus thatchérien que moi mais, comme lui, je n'ai pas voté Macron en 2017 et je crois qu'il faut être clair avec notre base pour 2022", a-t-il ajouté.

Jordan Bardella invité de BFM Politique dimanche midi

Le président du Rassemblement national Jordan Bardella sera l'invité de Jean-Baptiste Boursier pour BFM Politique, ce dimanche à midi.

"On peut gagner": l'écologiste Jadot appelle Hidalgo et les socialistes au rassemblement

Le candidat écologiste Yannick Jadot a appelé Anne Hidalgo et le camp socialiste au rassemblement de la gauche, dans une interview au Journal du Dimanche, pour l'élection présidentielle de 2022. "Construisons ensemble l’alternance", lance-t-il. "Il y a une perspective de victoire écologiste et sociale. On peut gagner".

Présidentielle: plus de 600 maires appellent à soutenir Macron en vue d'un deuxième mandat

"Nous avons besoin de continuité et de stabilité": Dans une tribune publiée ce dimanche dans le JDD, quelque 611 maires français apportent leur soutien à Emmanuel Macron en vue de la présidentielle de 2022.

Ces élus veulent le voir effectuer un deuxième mandat, estimant que ce quinquennat a "permis à nos collectivités de trouver leur rythme et de mieux servir nos administrés".

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