Gaza, Nahel, «violences policières» : à Paris, des centaines de manifestants scandent des revendications disparates
REPORTAGE - Le cortège de la marche contre «l’islamophobie» et le «racisme» s’est élancé ce dimanche après-midi boulevard de Magenta, au nord de Paris, avec plusieurs centaines de marcheurs aux causes diverses.
Une simple amende pour le port d’un couteau : une note de la Justice sème le trouble
INFO LE FIGARO - Alors que les violences à l'arme blanche se multiplient en France, le ministère de la Justice invite les forces de l'ordre à ne plus sanctionner que d'une contravention, dans la majorité des cas, les détenteurs d'arme blanche. Une vaste expérimentation est en cours.
Toulouse : un imam algérien condamné pour antisémitisme expulsé
Condamné pour la citation d’un «hadith» antisémite en 2018, le religieux, présent en France depuis 1985, se défendait d’une «interprétation décontextualisée» de ses propos. Il est arrivé en Algérie vendredi soir près un arrêté d’expulsion signé le 5 avril par le ministre Gérald Darmanin.
Charly Chapo
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mAcRoN avait juré ses grands dieux qu'il n'y aurait jamais de Passeport vaccinal. Cochon qui s'en dédit. Un petit tour de passe-passe et un petit coup de rabot, il dénonce le port, garde le Pass et le sanitaire qui justifie tous ses diktats.
Ce pass n'a aucune justification autre que de forcer les récalcitrants à accepter ce vaccin qui n'en est pas un. L'exécutif n'entend plus rien, les enjeux financiers sont tels qu'il ne peut y avoir de notes discordantes.
Virer ce pass, ne pas lui laisser la place qu'ils veulent lui accorder et si ça ne marche pas d'ici avril, il faudra virer mAcRoN à tout prix et n'importe quel prix...
anonyme
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Ceux qui ont voté non. Ça se voit que vous n’avez pas fuit de dictature dans votre jeunesse.
2761550 (profil non modéré)
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Si le but recherché est de garantir, la seule présence de personnes ne présentant pas un « risque » de transmission du virus pour les autres, alors l'obligation de ce passe constitue une rupture d'égalité injustifiée à l'égard des non-vaccinés par rapport aux vaccinés, puisque les premiers sont contraints de réaliser un dépistage virologique afin de garantir qu'ils ne sont pas porteurs du virus, alors que les seconds sont exemptés de cette obligation alors même qu'ils peuvent être porteurs et contagieux (Conseil d'État, référés, 1er avril 2021, n°450956).