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Coronavirus: Olivier Véran se rendra à Marseille ce vendredi

Jean Castex le 14 septembre 2020.

Jean Castex le 14 septembre 2020. - STEPHANE DE SAKUTIN

Face à une remontée du taux d'incidence à Aix-Marseille et en Guadeloupe, Olivier Véran a annoncé des mesures très strictes dans ces deux régions, désormais placées en "zone d'alerte maximale". Le Premier ministre s'exprime ce jeudi soir à la télévision.

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Muselier qualifie Castex d'"honnête" et "sérieux" après son intervention

Changement de ton. Le président de la région PACA Renaud Muselier, particulièrement critique ces dernières heures à l'égard des nouvelles restrictions gouvernementales, a qualifié d'"honnête", "sérieux" et "humain" le Premier ministre Jean Castex près son intervention télévisée sur France 2.

Olivier Véran sera à Marseille ce vendredi

Le ministre des Solidarités et de la Santé Olivier Véran se rendra ce vendredi à Marseille, où la situation épidémiologique liée au Covid-19 est particulièrement préoccupante.

La présidente du département de la Guadeloupe réclame "des mesures plus adaptées aux réalités" du territoire

La présidente du département de la Guadeloupe, Josette Borel-Lincertin, a réclamé "des mesures plus adaptées aux réalités de notre territoire où les contaminations se font majoritairement dans la sphère privée et non dans les bars et les restaurants".

"Il est important de cibler les vrais leviers, mais ce ne sont pas les bars et les restaurants", a estimé Josette Borel-Lincertin sur BFMTV.

À propos de sa proposition d'un couvre-feu en Guadeloupe, Josette Borel-Lincertin affirme que le préfet lui a assuré "qu'il n'avait pas la possibilité de le faire", car "la loi ne le lui permet pas encore".

Le tournoi de Roland-Garros concerné par l'abaissement de la jauge à 1000 personnes

Le tournoi de Roland-Garros va être concerné par l'abaissement de la jauge à 1000 personnes, comme pour les autres événements parisiens, a confirmé le Premier ministre ce jeudi soir. "Il n'y a pas de raison qu'on applique pas les mêmes mesures à tout le monde", a indiqué Jean Castex.

Jean Castex reconnaît ne pas avoir téléchargé l'application StopCovid

Le chef du gouvernement a reconnu, pendant l'émission de France 2 ce jeudi soir, ne pas avoir téléchargé l'application de traçage du virus StopCovid.

"Oui je pousse les Français à le faire, mais je ne l'ai pas fait", a déclaré M. Castex, interrogé sur ce point.

"Vu les activités qui sont les miennes... Stop Covid est intéressant quand vous prenez le métro, quand vous croisez du monde. Moi malheureusement, je ne prend plus le métro hélas", a-t-il ajouté, s'emmêlant quelque peu les pinceaux lors de son explication.

"Le virus n’a pas disparu depuis la fin du confinement", rappelle Castex

Interrogé sur la stratégie sanitaire mise en place par le gouvernement, Jean Castex a estimé que "ce qui bouge c’est le virus", jugeant les comportements "imprévisibles". "On doit s’adapter, on est en anticipation", a déclaré le chef du gouvernement. 

Sur France 2, Jean Castex rappelle que "le virus n’a pas disparu depuis la fin du confinement", et qu'il est important de "continuer à vivre avec le virus".

Les piscines couvertes fermées dans les zones d'alerte renforcée

"Le dispositif mis en place pour les bars et les restaurants s’appliquera aussi aux salles de sport", a répété Jean Castex ce jeudi soir, précisant que "toutes les piscines municipales fermées doivent aussi fermer", à l'exception de celles en plein air.

"C’est cohérent. Il y a des contacts, de la sueur, ce sont des endroits à risque", a déclaré le Premier ministre.

Le Premier ministre justifie la fermeture des bars et restaurants

Le Premier ministre Jean Castex a justifié, ce jeudi sur France 2, la fermeture des bars et restaurants à Marseille et en Guadeloupe, zones classées en alerte maximale.

"Ce sont des endroits où on doit enlever le masque. On a trois fois plus de chance d'être contaminés dans les bars. Toutes les études dont nous disposons montrent que les restaurants sont des lieux de contamination", a-t-il expliqué, précisant que ces mesures s'appliquaient pour 15 jours et que les professionnels de la rexstauration allaient être indemnisés de la perte de leur chiffre d'affaire.

À Marseille, c'est "une course contre la montre" et c'est pour cela que "nous avons décidé de prendre des mesures plus fortes", a-t-il ajouté au début de l'émission "Vous avez la parole"

Castex n'exclut pas un reconfinement en cas d'aggravation

Le Premier ministre a mis en garde les Français face à l'aggravation de la sitution sanitaire en France. Invité de France 2 ce jeudi soir, Jean Castex a déclaré: "L’opinion doit être très attentive et prudente. Si nous n’agissons pas, on pourrait se retrouver dans une situation proche de celle du printemps. (...) Ça pourrait dire reconfinement, et il faut l’éviter", a-t-il encore alerté.

"On ne joue pas avec une épidémie", a ajouté le Premier ministre, en appelant à "la responsabilité", qui est "nécessairement collective", face au virus Covid-19, face à une fronde d'élus locaux à Marseille.

Plus de 16.000 nouveaux cas en 24 heures: un record

Plus de 16.000 nouveaux cas de Covid-19 ont été diagnostiqués ces dernières 24 heures en France, un record depuis le début de la reprise de l'épidémie, selon Santé Publique France.

Bertrand demande à l'Etat de compenser à 100% les pertes liées à la fermeture des bars

Le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a demandé jeudi à l'Etat de compenser "à 100%" les pertes financières engendrées par la fermeture des bars et restaurants dès 22 heures face à la recrudescence du Covid-19.

"Si on décide de les faire fermer, alors il faut les compenser à 100%", a déclaré Xavier Bertrand sur le plateau du JT de France 3 Nord Pas-de-Calais, réagissant aux mesures annoncées la veille par le gouvernement.

Comme dix autres villes placées en "zone d'alerte renforcée", la métropole de Lille verra les bars et restaurants fermer dès 22 heures à partir de lundi, une mesure qui a suscité la colère de nombreux commerçants.

Un référé déposé vendredi par Muselier contre la fermeture des restaurants

Le président de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur Renaud Muselier a annoncé le dépôt vendredi d'un référé liberté en justice pour empêcher la fermeture des bars et restaurants de la métropole Aix-Marseille, annoncée par le gouvernement au nom de la lutte contre le Covid-19.

"J'invite le préfet à respecter scrupuleusement la loi car je déposerai dès demain, avec des restaurateurs et des cafetiers, un recours en référé liberté devant le tribunal administratif de Marseille contre tout acte restreignant l'exercice de la liberté d'entreprendre, d'industrie et du commerce de façon disproportionnée", a écrit Renaud Muselier dans un communiqué publié jeudi soir.

Israël durcit son reconfinement devant la hausse des cas de Covid

Après des heures de discussions, le gouvernement d'union mené par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, a dévoilé jeudi matin de nouvelles mesures pour renforcer le reconfinement en vigueur depuis près d'une semaine en raison d'une hausse continue du nombre de personnes contaminées par le coronavirus.

À partir de vendredi à 14 heures (11 heures GMT), les synagogues seront fermées, sauf pour Yom Kippour (jour du pardon, célébré dimanche soir et lundi), seuls les secteurs de travail jugés "essentiels" pourront continuer à exercer et les manifestations et les prières en extérieur seront limitées à 20 personnes et à moins d'un kilomètre du domicile.

Ces mesures doivent encore être validées par le Parlement plus tard jeudi. Les autorités doivent également se prononcer dans la journée sur la fermeture de l'aéroport international Ben Gourion de Tel-Aviv, des médias évoquant une possible interdiction de partir à l'étranger mais de revenir au pays.

La priorisation des tests "ne fonctionne plus" face à la montée de la "pression sanitaire", reconnaît Olivier Véran

La "priorisation" des tests de dépistage du coronavirus "ne fonctionne plus" face à l'augmentation de la "pression sanitaire", car les patients symptomatiques et les cas contacts représentent désormais à eux seuls "un nombre conséquent" de tests à réaliser, a reconnu jeudi le ministre de la Santé au Sénat.

"Plus la pression sanitaire monte, plus le nombre de gens positifs et de cas contacts monte, plus le public prioritaire augmente", a-t-il expliqué, devant la commission d'enquête du Sénat sur la gestion sanitaire de l'épidémie de Covid-19.

"Face à cela, la priorisation demandée en août a fonctionné, jusqu'à ce qu'elle ne fonctionne plus. C'est allé très vite", a-t-il ajouté, au cours de ses plus de trois heures d'audition.

Le match Saint-Etienne-Rennes à huis clos

Le match de Ligue 1 Saint-Etienne-Rennes se jouera à huis clos samedi à cause de la reprise de l'épidémie.

Jusqu'à 20% des opérations chirurgicales potentiellement reportées, selon les Hôpitaux de Paris

Les Hôpitaux de Paris ont annoncé, en réponse à une question en conférence de presse ce jeudi, que 20% des opérations chirugicales pourraient être reportées à compter de ce week-end.

L’AP-HP a toutefois précisé que si "des premières déprogrammations pouvaient intervenir dans les jours qui viennent", il s'agirait, à ce stade, de décisions prises au cas par cas, ou service par service mais pas d’une organisation d’une déprogrammation globale, comme elle a été décidée à la mi-mars.

Elle a indiqué qu’elle avait un certain type d’organisation en deça de 20% de déprogrammation, qui est la situation actuelle, et non pas qu’elle était conduite à lancer une déprogrammation de 20% des interventions chirurgicales.

L'entourage du Premier ministre répond aux élus marseillais: "On ne peut pas se permettre d'attendre 10 jours"

La mairie de Marseille veut un délai avant l'instauration de nouvelles mesures restrictions. C'est non pour le gouvernement. "Selon les indicateurs, on est dans une situation où on ne peut pas se permettre d'attendre 10 jours de plus", rétorque l'entourage du Premier ministre à BFMTV.

Jean Castex "répondra certainement ce soir", lors de son intervention dans une émission télévisée, poursuit cette même source. "Il va expliquer, faire de la pédagogie. Il n'y a pas de raison d'adoucir. Il va être là pour parler protection des Français."

Véran répond aux élus marseillais: "Le principe de responsabilité doit primer"

Olivier Véran "assume" les décisions prises à Marseille. Auditionné ce jeudi au Sénat, le ministre de la Santé a au passage démenti tout manque de concertation avec les élus locaux à ce sujet.

"Je me suis rendu à Marsielle le 27 août et j'ai passé je crois plus de 2h en préfecture à discuter avec les parlementaires, les élus de la ville, de la métropole, du département, de la région et des maires de communes adjacentes", a-t-il affirmé. "J'ai également rencontré la maire de Marseille pendant plus d'une demi-heure."

"À l'époque je leur ai dit que si nous ne prenions pas rapidement des mesures de gestion pour enrayer la circulation du virus il était à craindre que nous soyons obligés de prendre des mesures plus fortes plus tard", a assuré le ministre de la Santé.

"Concerter ne veut pas forcément dire d'accord", a-t-il rétorqué aux élus marseillais. "À un moment donné, le principe de responsabilité doit primer lorsqu’il faut protéger la vie des gens, lorsqu'il faut pendre des mesures même difficiles pour éviter que des gens ne meurent."

Et le ministre de la Santé de conclure: "Enrayer la circulation du virus, protéger les hopitaux, protéger les rénaimations, protéger et soulager les soignants... Vu la vague épidémique que nous avons connue, ça me parait être agir en responsabilité, je l'assume et je l'asumerai à chaque fois que ça sera nécessaire."

La mairie de Marseille veut un délai de 10 jours avant de nouvelles mesures

La mairie de Marseille demande au gouvernement "10 jours avant la mise en place de nouvelles mesures". Le premier adjoint Benoît Payan a appellé l'exécutif à suspendre les restrictions annoncées ce jeudi soir, en attendant de voir si les principaux indicateurs de l'épidémie poursuivent leur baisse dans la cité phocéenne.

Il se dit prêt à prendre les mesures nécessaires "à la fin de la semaine prochaine", si "les indicateurs repartent à la hausse". "Si au bout de 10 jours, l'épidémie reprend, on est prêt à assumer des mesures fortes", y compris "un confinement qui ne dit pas son nom".

La mairie de Marseille dénonce un "quasi-confinement"

Benoît Payan, premier adjoint au maire de Marseille, évoque à nouveau "l'incompréhension" et la "colère" des élus locaux face aux nouvelles restrictions annoncées pour la ville.

"Notre ville a été mise en quasi-confinement sans que personne n'ait été concerné", dénonce-t-il lors d'une conférence de presse, avant d'appeller Olivier Véran à "revoir sa copie".

"Marseille ne peut pas être utilisée pour des démonstrations de force", a-t-il poursuivi. "Les déclarations d'hier soir sont irrationnelles. (...) Marseille mérite mieux que des coups de butoir ou de servir d'exemple."

Anne Hidalgo évoque son "désaccord" avec les nouvelles mesures

Paris a été placé ce mercredi soir en "état d'alerte renforcé" par le gouvernement, ce qui va entraîner la fermeture obligatoire des bars avant 22 heures dans la capitale.

"La grande majorité de nos cafetiers et de nos restaurateurs ont vraiment fait des belles choses sur l'espace public et je veux aujourd'hui leur apporter tout mon soutien par rapport aux mesures très restrictives qui ont été prises, malheureusement sans concertation", a déploré la maire Anne Hidalgo ce jeudi matin. J'avais dit mon désaccord sur ces mesures."

Le directeur de Roland-Garros "inquiet"

Invité sur BFMTV ce jeudi matin, le directeur de Roland-Garros Guy Forget n'a pas caché son inquiétude à quelques jours de l'ouverture du tournoi. "Au niveau des conditions sanitaires, nous remplissons tous les critères, nous avons échangé avec les autorités. Nous sommes un peu inquiets", a-t-il confié, disant espérer une dérogation des autorités.

"On attend, on la souhaite. C'est plus risqué d'aller dans un supermarché, dans un amphithéâtre et de prendre le métro. Quand on est en extérieur sur un site aussi grand, accueillir 5000 personnes sur un espace aussi vaste, c'est totalement 'secure'".

"Il faut que l'Etat revoit sa feuille de route"

Assurant ne pas appeler les restaurateurs marseillais à la "désobéissance civile", Michèle Rubirola estime en revanche que l'Etat doit "revoir sa feuille de route". "Le R0 diminue, est en dessous de 1 depuis quatre jours, le nombre de nouveaux cas baisse chez les moins de 60 ans", a-t-elle fait valoir.

"Vous voyez que Marseille fait des efforts et que ça marche", a ajouté la maire de la ville.

"Je suis toujours en colère"

Au lendemain des annonces d'Olivier Véran, la maire de Marseille Michèle Rubirola dit sur BFMTV être "toujours en colère".

"C'est l'incompréhension la plus totale", dit-elle, alors que le ministre de la Santé a annoncé la fermeture des bars et restaurants dans la cité phocéenne dès samedi. "Il n'y a eu aucune concertation et c'est inadmissible", assure Michèle Rubirola.

"L'État n'abandonnera pas" les bars, restaurants et salles de sport

Au lendemain de l'annonce de nouvelles restrictions pour freiner l'épidémie de coronavirus en France, la secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale, solidaire et responsable, Olivia Grégoire, a promis le soutien de l'État aux bars, restaurants et salles de sport contraints de réduire leurs amplitudes d'ouverture, voire de fermer totalement dans la métropole d'Aix-Marseille et en Guadeloupe.

"Je vais le dire simplement mais force: l'Etat n'abandonnera pas ceux qui vivent aujourd'hui ces moments extrêmement difficiles", a affirmé Olivia Grégoire sur BFM Business. Elle a notamment annoncé le maintien des aides pour les entreprises concernées.

Michèle Rubirola: "je ne sais pas s'il y aura une adhésion à ces mesures"

La maire de Marseille était interrogée ce matin sur France Info où elle est revenue sur la mesure prise par le gouvernement de fermer les bars et restaurants dans la cité phocéenne à compter de samedi. Une décision que Michèle Rubirola juge "inadmissible", allant jusqu'à parler de sanction pour les Marseillais et Marseillaises.

"Une mesure santé ne peut être efficace que si elle est acceptable dans la population [...] Je ne sais pas s'il y aura une adhésion à ces mesures", estime-t-elle.

Dominique Rossi (AP-HM): "45% de nos lits de réanimation sont occupés par les malades du Covid-19"

Invité de la matinale de BFMTV, le président de la commission médicale de l'AP-HM est revenu sur la situation sanitaire dans la ville de Marseille.

"Nous avons 175 malades hospitalisés dont 38 en réanimation. 45% de nos lits de réanimation sont occupés par des malades du Covid-19", annonce Dominique Rossi.

Des soignants militaires envoyés en renfort en Guadeloupe

Le ministère des Armées a annoncé ce mercredi soir le déploiement de 37 personnels soignants militaires en Guadeloupe pour aider l'île, placée mercredi en "zone d'alerte maximale" face à une deuxième vague épidémique qui s'annonce plus meurtrière que la première.

Ces personnels soignants rejoindront en fin de semaine le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Pointe-à-Pitre "pour soutenir le département dans la gestion de la crise liée à la pandémie" de nouveau coronavirus, selon le ministère.

"Ferme-la Véran": la colère de la maire d'Aix-en-Provence

Maryse Joissains ne cache pas sa colère. Interrogée par La Provence après les annonces du ministre de la Santé, la maire d'Aix-en-Provence a dénoncé les mesures imposées dans sa ville. "Ça va trop loin", commente-t-elle.

"Leur rôle (au gouvernement) est de protéger, de prévenir, voire de sanctionner, mais pas d’instaurer un climat anxiogène comme cela! Les gens ne vont plus vouloir mettre leurs enfants à l’école, les commerçants vont faire faillite! Il faut calmer les gens, ils font tout le contraire... Là, on dérape, moi je dis : ferme-la, Veran! La haute administration est en train de devenir folle."

Le tour de vis des autorités

Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouveau direct consacré à l'évolution de l'épidémie de coronavirus en France. C'est un tour de vis qu'a annoncé ce mercredi soir Olivier Véran, à l'occasion de sa conférence de presse hebdomadaire: face à une remontée du taux d'incidence à Aix-Marseille et en Guadeloupe, le ministre de la Santé a annoncé des mesures très strictes dans ces deux régions, désormais placées en "zone d'alerte maximale".

Cela entraîne la fermeture totale des bars et des restaurants à partir de samedi. Les autres "établissements recevant du public" vont aussi être fermés, sauf ceux qui ont un "protocole sanitaire strict", comme les théâtres, les musées ou les cinémas. Ces mesures ont suscité l'incompréhension et la colère chez de nombreux élus et responsables économiques.

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