Pfizer l’avait annoncé, l’entreprise ne sera pas en mesure de respecter son plan de livraison initial, avec des conséquences non négligeables en Belgique, où les doses attendues étaient de 100.000 unités. En lieu et place, Pfizer livrera 60.000 doses, le solde sera bel et bien fourni mais à partir du 15 février.
Face à l’afflux prévisible de commandes, la société pharmaceutique veut être capable d’augmenter sa production, en doublant pratiquement ses prévisions pour 2021 qui passent désormais de 1,3 milliard de doses produites à 2 milliards. Un objectif où santé publique et impératifs économiques font bon ménage dans un environnement concurrentiel où les grands du"pharma" voient leur chiffre d’affaires s’envoler.
La conséquence de ce retard de livraison se fait sentir déjà sentir par exemple à l’UZ Gand qui ne débutera pas ce samedi la vaccination de son personnel soignant, une situation jugée particulièrement regrettable par la direction de l’hôpital qui doit replanifier son agenda de vaccination. Un impact qui varie de pays à pays en Europe D’autres pays que la Belgique sont nettement moins impactés, comme la Norvège avec ses cinq millions d’habitants, qui voit ses livraisons diminuer de 8000 unités, un chiffre qui sans connaître le nôtre alors, était jugé "gérable" par Dirk Ramaekers, notre dirigeant de la taskforce vaccination, mais il ajoutait prudemment :"si l’impact est plus important en Belgique, des adaptations seront...
Quel agenda ? Ils ont eu depuis début décembre pour se préparer et ils ne sont encore nulle part. 450000/semaine, foutage de gueule.
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