Avec la pandémie, trouver une course est devenu tellement compliqué pour les"cabs", mythiques taxis noirs londoniens, que nombre d'entre eux sont désormais parqués dans des champs en périphérie de la ville.
Mais dans un centre ville vidé de ses habitants par un second confinement, les chauffeurs ont pour la plupart fait le choix de rendre leur taxi de location. Débordées par l'afflux de retours, les sociétés loueuses se retrouvent obligées de les stocker dans des champs proches de Londres. 6.000 taxis en moins Successeurs des taxis londoniens à chevaux apparus au XVIIe siècle, les"cabs" noirs sont un emblème de la vie britannique au même titre que les cabines téléphoniques rouges et les policiers casqués."Les seuls qui restent sont désormais les taxis", affirme Steve McNamara. Mais pour combien de temps ?
Pour Steve McNamara, le nouveau coronavirus est"sans aucun doute le principal facteur" responsable de la baisse du nombre de taxis, et non les applications comme Uber. Le chauffeur de 45 ans, qui exerce depuis 8 ans, explique qu'en temps normal cette profession est"un bon gagne-pain". Mais la pandémie représente"la période la plus difficile que j'aie jamais connue", lâche-t-il.
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