Zone après zone, la police s’équipe de bodycams. Il s’agit de caméras fixées sur le torse de l’agent et qui doivent objectiver, avec l’image, les faits lors d’interventions parfois sujettes à contestation.
Un usage réglementé La caméra doit être visible pour le citoyen. Celle-ci n’enregistre que si un bouton-poussoir est activé. Le cadre légal est strict : le policier doit signaler lorsqu’il active la vidéo. Le citoyen n’a pas le pouvoir de s’y opposer. Dans cette zone du Brabant-wallon, la vidéo sera prise en même temps que le son. Vincent Gilles, porte-parole du SLFP Police, principal syndicat policier, déplore qu’il en soit ainsi. "La loi sur les caméras a été modifiée par le ministre Jambon. Celle-ci autorise le port par les policiers d’une caméra de corps et donc la prise de vidéos mais ne dit rien par rapport au son.
De quoi alimenter la discussion... Maurice Levêque, chef de corps de la police d’Ottignies-LLN :"Pour ce qui concerne le son, je trouve que cela serait grotesque de ne pas l’utiliser. Un film muet est beaucoup plus difficile à interpréter, à contextualiser."
Quid du flagrand délit ? Si on restreint l'usage à tout dire avant intervention, autant ne pas l'utiliser... les malfaiteurs auront tout le temps d'esquiver...
Putain, l’orthographe! Télévision belge publique NewsroomRTBF RTBF RTBF
Belgique Dernières Nouvelles, Belgique Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
La source: DH.be - 🏆 9. / 63 Lire la suite »
La source: DH.be - 🏆 9. / 63 Lire la suite »
La source: lalibre.be - 🏆 24. / 51 Lire la suite »
La source: lalibre.be - 🏆 24. / 51 Lire la suite »
La source: lalibre.be - 🏆 24. / 51 Lire la suite »