A chaque carrefour, des blocs de béton. Tout autour d’un large périmètre défini comme une"zone verte", des grillages d’une hauteur certaine garnis de fil barbelé. Pas question de les franchir. Et à chaque coin de rue, quel que soit l’axe du regard, des soldats en arme.
Et tous ces soldats ont fait l‘objet d’un contrôle approfondi de la part des services secrets et du FBI, et tout particulièrement ceux qui seront à proximité immédiate du Capitole. Pour Michel Liégeois, professeur à la Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de communication de l’UCLouvain, un tel processus de sécurité semble tout à fait normal."La Garde nationale, tout comme l’armée de façon générale, est représentative de la société.
Mais, insiste Michel Liégeois,"c’est tout de même une situation particulière dans laquelle il y a ce déploiement de troupes militaires alors qu’il n’y a pas de menace 'extérieure', aucune puissance étrangère, aucun groupe terroriste n’a menacé de perturber l’investiture. Toutes ces mesures sont prises par rapport à une menace qui viendrait de citoyens américains, ce qui est déjà assez particulier au départ.
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