Il se dresse depuis l’an 1050 entre les montagnes, à la frontière entre la Suisse et l’Italie, à 2500 mètres d’altitude. L’Hospice du Grand-Saint-Bernard fût créé par Bernard de Menthon, archidiacre d’Aoste. Sa vocation était de procurer un lieu de repos aux commerçants et aux pèlerins qui empruntaient la"via Francigena", un itinéraire commercial et religieux qui relie Canterbury, en Angleterre, à la sainte Rome.
Un lieu qui se mérite Chaque année, d’octobre à juin, la route du col est fermée à la circulation à partir de 2000 mètres. Les cinq cents derniers mètres de dénivelé sont à parcourir à pied, en raquettes ou en skis de randonnées pour parvenir à l’Hospice. Il demeure ouvert 365 jours par an pour l’accueil des randonneurs. La météo est capricieuse, à cette altitude.
Une vie rythmée par la spiritualité Cinq fois par jour, la cloche résonne dans la cage d’escalier du bâtiment, invitant ceux qui le souhaitent à participer aux différents moments de prière caractéristiques de la vie monastique. Il y a une église attenante à l’Hospice. Mais en hiver, trop difficile à chauffer, elle n’est pas utilisée. C’est dans la crypte, au sous-sol que les chanoines et Anne-Marie se rassemblent pour prier.
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