La justice algérienne a condamné lundi le jeune militant Brahim Laalami, une des figures du mouvement de protestation antirégime , à deux ans de prison ferme, selon des sources concordantes.
En détention provisoire depuis le 9 septembre 2020, Brahim Laalami, 29 ans, devait répondre de six chefs d'accusations. Brahim Laalami, un tailleur, était sorti seul à Bordj Bou Arreridj en février 2019 avec une grande pancarte contre la candidature à un cinquième mandat de l'ancien président Abdelaziz Bouteflika.
"Nous avons boycotté le procès car nous avons estimé qu'il n'y avait pas les garanties d'un procès équitable", a expliqué Me Gharbi.
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