La Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’Onu s’est inquiétée lundi du sort de 200 manifestants, dont des femmes, encerclés par les forces de l’ordre birmanes à Rangoun.
"#Birmanie : nous sommes profondément inquiets du sort de 200 manifestants pacifiques — y compris des femmes – qui ont été encerclés par les forces de sécurité à Rangoun et risquent d’être arrêtés ou maltraités. Nous demandons instamment à la police de leur permettre de partir en toute sécurité et sans représailles", ont tweeté les services de Michelle Bachelet.