Une journée contre la 5G… et les ondes en général

Une journée contre la 5G… et les ondes en général

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Par A.G. et JCV

Le collectif stop5G.be organisait ce dimanche à 13h à Bruxelles un rassemblement "revendicatif et informatif" dans le cadre de la journée mondiale contre le déploiement de la technologie 5G. Ce collectif qui a réuni une centaine de personnes, met en cause la prolifération des ondes et dénonce les nombreuses conséquences négatives de la 5G, parmi lesquelles l’importante pollution électromagnétique qui s’ajoutera à celle déjà existante des G2,3,4, DEC et autre Wi-Fi.

Aucune étude ne répond de manière définitive à la dangerosité des ondes qui nous entourent, mais Laurent Piette, ingénieur en Informatique et spécialiste des champs électromagnétiques met l’accent sur la multiplication de ces ondes depuis près de 30 ans :Plus la fréquence d’une onde est basse, plus la longueur d’onde est importante. Et l’on peut alors plus facilement pénétrer dans les obstacles. Or pour la 5G, on parle de 26GHz, de 60GHz. Ce sont des fréquences très élevées qui permettront des pics importants en termes d’échange de données. La problématique des ondes n’est pas uniquement celles de la porteuse -la fréquence utilisée- mais aussi la modulation. Par exemple, sur les mêmes deux fils de cuivre historiques, on peut aujourd’hui véhiculer beaucoup plus d’informations. " Mais pour lui, le vrai problème des ondes est celui de leur accumulation. " Dans les années 60 il y avait un peu de radio et un peu de radars. Alors que maintenant, dans chaque habitation, c’est énorme. "

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